Des invendus alimentaires lucratifs ?

Pour combattre le gaspillage, des plateformes récupèrent et revendent les produits à petits prix. Un nouveau venu vient bousculer les codes en monétisant une partie des invendus et en donnant le reste aux associations. Si l’idée est plutôt bonne en apparence, sur le terrain, le secteur de l’aide alimentaire grogne. Entre enjeux éthiques, écologiques et économiques, Alter Échos a mené l’enquête.

Un lundi soir de printemps, sur la place du Jeu de balle, une camionnette jaune et blanc aux allures de food truck; sur le flanc, un message «Tes courses à petits prix pour lutter contre le gaspi». Des personnes vont et viennent les bras chargés de nourriture, le sourire aux lèvres. Si ces citadins ont l’air satisfaits, c’est parce qu’ils viennent d’acquérir des aliments à bon prix grâce à l’application Happy Hours Market. «C’est top, on lutte contre le gaspillage et on dépense moins», explique une jeune fille, le sac bien rempli.

L’article complet est à lire dans Alter Échos n° 494 ou ici.