Depuis fin novembre, au cœur de la capitale, la Maison des livreurs accueille les travailleurs de l’ombre. Entre les murs de ce vaste local, les coursiers qui sillonnent la ville repas sur le dos, peuvent recharger leurs batteries, créer du collectif et s’offrir un peu de chaleur humaine.
Samedi 25 mars, 15 h 30, 125 rue du Trône. Une grande salle, quelques fauteuils, un bar, une table de ping-pong. Comme toutes les semaines depuis plusieurs mois, c’est ici que le collectif des coursiers tient sa permanence. Autour de la table, Camille, Yann, Raphaël, François*, Piero et les autres discutent plans d’action, communication et stratégies. Livreurs, anciens livreurs et citoyens à la conscience sociale aiguisée se rassemblent pour résister au modèle d’atomisation du travail qui leur est imposé par les plateformes.
L’article complet… ou dans le numéro 510 d’Alter Echos.