Les baies de goji, la spiruline, les graines de chia ou les baies d’açai garnissent les tablées les plus branchées. Reconnus pour leurs nutriments, les super-aliments sont une source de vitalité pour nos organismes. Derrière ces noms exotiques, des cultures lointaines et donc un impact environnemental non-négligeable. Décryptage de la tendance, bonnes pratiques chez Färm et conseils de la nutritionniste Marie de Giey pour découvrir les superfoods à faire pousser dans nos potagers. Tout, tout, tout, vous saurez tout !
« Superfood », depuis quelques années, l’expression a envahi les rayons diététiques et les menus « healthy » des restos trendy. Il y a 10 ans, personne n’aurait commandé un « super bowl chia » ou un « smoothie d’açai », aujourd’hui, ces recettes font fureur sur Instagram. Ces nouveaux aliments arrivés sur le marché européen sont extrêmement sains, certes, mais ils sont aussi le résultat d’un bon gros coup marketing. Mais au fait, c’est quoi un super-aliment ? Le « super » n’a rien de scientifique, ni même d’officiel. Cependant, il qualifie certains produits reconnus pour leurs apports nutritifs remarquables. Ils sont plus riches en vitamines, minéraux, antioxydants, acides aminés ou fibres que les autres. Parmi eux, les exotiques baies de Goji venues de Chine, les graines de chia du Mexique, le quinoa de Bolivie ou encore les baies d’açai du Brésil.