Déconstruire les masculinités toxiques (1/4): « Sois fort, ne pleure pas »

Cet été, Les Grenades décortiquent les stéréotypes de genre qui engendrent des comportements masculins toxiques. Quatre articles pour creuser le sujet et faire valser les étiquettes. Parce que l’égalité femmes-hommes passe aussi par une remise en question des rôles sociaux qu’endossent ceux qui forment la moitié de la population. Pour ce premier article, plongeon au cœur des émotions.

Un homme doit être fort, dur, protecteur. Un homme ne pleure pas, ne demande pas d’aide, ne craque pas. Rien de pire que les injonctions à être de « vrais hommes » bien solides, bien sexistes.

Rien de pire et pourtant, depuis très longtemps (et encore maintenant) on enseigne aux petits garçons à réprimer leurs émotions, à ne pas montrer leurs faiblesses sous peine d’être « traités de filles ». Ce phénomène entretient le patriarcat et la masculinité toxique.

Timidement, les choses commencent à changer, depuis quelques années, un nouvel équilibre entre la part du masculin et du féminin est proposé. De plus en plus d’individus déconstruisent les rôles de genre prédéfinis. La Pop culture, qui a longtemps mis en avant le modèle du mec sauveur ou gros macho est en train de prendre un autre tournant.

Les choses changent, que ce soit sur Netflix avec par exemple The mask you live in , sur Youtube avec Entre mecs ou encore à travers les podcasts  Mansplaining ou le génial Les couilles sur la table. Et ça fait du bien (il était temps) !

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