Les agressions sexuelles se poursuivent pendant le couvre-feu

Depuis fin octobre, les Belges vivent sous le couvre-feu. Des villes silencieuses après une certaine heure, où les victimes de violences sexuelles se retrouvent dans des réalités encore plus complexes qu’à l’ordinaire.

Depuis des mois, les mesures sanitaires et les sanctions qui en découlent viennent ajouter une nouvelle couche de difficultés à la réalité des agressions sexuelles. Au sein des familles, dans des espaces privés, derrière les portes, des actes violents se déroulent dans l’invisibilisation la plus totale.

Delphine* a 31 ans, plusieurs hommes l’ont agressée sexuellement, nous avons recueilli son témoignage entremêlé de souffrance et de culpabilité. Un récit dur et violent, mais nécessaire. Rappelons que seul l’auteur d’une agression est responsable, peu importe la situation. Couvre-feu, alcool, confinement : rien ne justifie une agression.

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